par Orfiniak, Camille 
Président du jury Godin, Isabelle
Promoteur De Spiegelaere, Myriam
Co-Promoteur Deguerry, Murielle
Publication Non publié, 2021-08-01
Président du jury Godin, Isabelle
Promoteur De Spiegelaere, Myriam
Co-Promoteur Deguerry, Murielle
Publication Non publié, 2021-08-01
Mémoire
| Résumé : | Introduction : De nombreux experts en santé tirent la sonnette d’alarme, quant à la prévalence croissante de la myopie, à travers le monde. Ils prévoient que 50 % de la population mondiale soit myope, d’ici 2050. La myopie se développe généralement dans l’enfance et peut être un frein au bon développement des enfants. Les enfants sont de plus en plus exposés aux facteurs de risque (activités rapprochées, temps passé en intérieur…) au quotidien, mais il est également possible de freiner le développement de la myopie, notamment en la dépistant tôt et en favorisant l’exposition aux facteurs protecteurs des enfants (lumière naturelle…)Objectifs : Approcher la prévalence de la myopie chez les enfants de 3 à 15 ans, en Fédération- Wallonie-Bruxelles et une éventuellement plus grande précocité d’apparition de l’anomalie. Méthode : Etude quantitative avec description des résultats, à travers deux indicateurs : les dépistages visuels anormaux et le port de lunettes. Résultats : Une augmentation de la fréquence des tests anormaux et une augmentation de la fréquence du port de lunettes sont observées, en particulier chez les filles et en Wallonie. Discussion : Il est difficile d’affirmer qu’il existe une plus grande précocité de la myopie, chez les enfants de FWB, mais il est probable que la myopie touche de plus en plus de ces enfants. Les divergences entre les résultats des deux régions permettent notamment de questionner l’accessibilité aux consultations chez l’ophtalmologiste. Il est primordial d’axer les stratégies de santé publique sur le dépistage précoce de la myopie et l’éducation des futurs et jeunes parents, pour freiner le développement et la progression de la myopie. |
