Résumé : Pour répondre avec pertinence à mes hypothèses selon lesquelles, premièrement, l’environnement socio-économique d’un quartier influence la pratique culturelle de ses habitants et deuxièmement, certains facteurs peuvent être travaillés par les acteurs culturels afin d’inciter ou de freiner les pratiques culturelles locales, mon terrain de recherche a été la Région Bruxelles-Capitale, ses institutions culturelles et sa population. J’ai eu l’occasion de rencontrer à plusieurs reprises différents acteurs d’institutions culturelles bruxelloises. Je me suis intéressée à la politique de démocratisation culturelle de quatre institutions, Recyclart, MIMA, BOZAR et le Musée des Beaux-Arts d’Ixelles. Dans un second temps, je me suis rendue devant les quatre institutions sélectionnées munies d’un questionnaire à remplir en version papier et digitale. J’ai arrêté les personnes qui passaient devant ces lieux ou qui y rentraient pour leur poser quelques questions. Il semblerait que le frein majeur soit la communication, car les répondants ne sont pas forcément au courant des différentes actions d’incitation mises en place par les institutions culturelles.