par Daar, Daiqa 
Président du jury Michel, Olivier
Promoteur Bouland, Catherine
Publication Non publié, 2021-09-01

Président du jury Michel, Olivier

Promoteur Bouland, Catherine

Publication Non publié, 2021-09-01
Mémoire
Résumé : | Le contexte sanitaire liée à la crise du COVID-19 ainsi que le confinement (de mars à mai 2020)auront marqué tous les esprits. Ces derniers ont bouleversé le quotidien des Belges ainsi que leur santé mentale.La prévalence d’anxiété et de dépression a augmenté au sein de la population à la suite du confinement. Pour rappel, seul les magasins alimentaires et pharmacies étaient ouverts. En ce qui concerne les loisirs, ils ne restaient plus que les espaces verts comme lieux d’activité physique sportive accessibles.Il existe déjà un bon nombre d’études sur les bienfaits de la présence d’espaces verts et de la pratique physique au sein de ces derniers, sur la santé (physique et mentale). Cependant, il n’existe pas beaucoup d’études publiées sur la santé mentale et l’activité physique dans les espaces verts en temps de confinement dû à la crise du COVID-19. L’objectif de ce travail était donc de voir s’il y avait une association ou non entre l’activité physique dans les espaces verts et la santé mentale perçue, plus précisément par rapport aux troubles anxieux et dépressif durant le premier confinement. Pour ce faire, nous avons d’abord effectué une revue de la littérature scientifique et ensuite réalisé une enquête évaluant la perception de santé mentale des participants ainsi que leur fréquentation des espaces verts. Cette enquête nous a révélé la grande prévalence de notre échantillon à souffrir de troubles anxieux et/ou dépressifs. Les personnes interrogées déclarent également davantage fréquenter les espaces verts depuis ce confinement. De plus, l’intensité de la fréquentation des espaces verts a un impact positif sur la probabilité de souffrir de troubles dépressifs. Néanmoins, en faire la démonstration et quantifier cet impact sur la santé publique relève d’un défi, car les interactions en jeu sont complexes et multifactorielles. |