par Meert, Anne-Pascale
;Ilzkovitz, Maxime 
Référence Revue des Maladies Respiratoires Actualites, 16, 2, page (2S263-2S269)
Publication Publié, 2024-10
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Référence Revue des Maladies Respiratoires Actualites, 16, 2, page (2S263-2S269)
Publication Publié, 2024-10
Article révisé par les pairs
Résumé : | Environ 40 % des patients atteints d’un cancer bronchique sont amenés à consulter les urgences durant leur suivi. Il s’agit souvent de patients à un stade avancé de leur maladie. Cette consultation aboutit dans un peu moins de 2/3 des cas à une hospitalisation dont certaines en réanimation. Les problèmes respiratoires, la fièvre, la douleur et les plaintes digestives sont les motifs classiques de consultations aux urgences. L’arrivée de thérapies ciblées et de l’immunothérapie diversifie grandement les raisons de présentation aux urgences. Si le cancer ou son traitement peuvent être la cause de la consultation aux urgences, il ne faut pas oublier qu’environ 30 % de ces consultations n’ont pas de lien avec le cancer. |