par Leloutre, Gery
Référence Cahiers thématiques - Ecole d'architecture de Lille et des régions Nord, 13, page (97-107), 8
Publication Publié, 2014-02
Article révisé par les pairs
Résumé : Le milieu du XX e siècle marque un moment de grande autonomie des municipalités touchées par l’extension de la capitale belge, en matière de planification. Le texte se penche sur le travail de plusieurs de ces municipalités qui se forgent consciemment une condition urbaine spécifique, à même de négocier l'ambivalence sociale et paysagère de leur territoire contigu à une métropole mais relevant encore d'une structure très rurale.Ce travail aborde frontalement la question de la manière avec laquelle le développement de la résidence en ordre ouvert peut faire ville, et y répond à différentes échelles, portant sur la structuration de la communauté, ou sur les tentatives à contenir la forme intelligible de la métropole au sein de grandes structures vertes, assumant assumer l'ambition de la construction d'une véritable culture de vivre ensemble dans la verdure et le grand paysage qui sorte du cadre prospectif de la metropolisation —habiter en périphérie d'une ville où l'on travaille.