Résumé : But du mémoire :La validité et la reproductibilité du dynamomètre manuel étant aujourd’hui démontré dans l’évaluation de la force musculaire. Il comporte de nombreux avantages qui font de lui un outil d’évaluation de choix. Mais est-il un bon reflet de la fonction musculaire fonctionnelle chez les sportifs ? C’est pourquoi Il sera ici confronté à différents tests fonctionnels du membre supérieur.Matériel et Méthodes : Nous allons donc comparer les mesures isométrique du bras dominant et non dominant avec les résultats obtenus à différents tests fonctionnels reconnus (ULRT, SMBT, CKCUEST,SET) pour l’évaluation fonctionnelle du membre supérieur. Afin de voir si le dynamomètre manuel est un bon reflet de ces tests fonctionnels chez les sportifs « overhead ». Nous verrons également si le dynamomètre manuel détecte les asymétries entre le côté dominant et le côté non-dominant, si les mesures reflètent celles obtenues par les différents tests fonctionnels. Enfin cela permettra aux sportif d’avoir un bilan complet de l’état de leurs membres supérieurs, leurs permettant d’adapter leurs entrainements pour compenser leurs manques et avoir de meilleurs résultats.Résultats : Les résultats obtenus montrent qu’il existe bien une corrélation entre les différents outils de mesures, mais à des niveaux significatif différents. Cette corrélation dans l’évaluation de la force musculaire n’existe cependant pas entre chaque outils de mesures utilisés ici et le shoulder endurance test. Les résultats montrent une asymétrie détectée par le HHD ainsi que le SET, cette asymétrie moins évidente avec les autres tests fonctionnels.Discussion et Conclusion : Comme montrée dans la littérature le dynamomètre manuel reflète bien la force musculaire mise en évidence par les tests fonctionnel et permet une étude des asymétries. Cependant d’autre études avec plus de sujet permettraient d’appuyer ces résultats, notamment dans une optique diagnostic chez les sportifs.