par Wei, Allan-Lee
Référence Bruxelles en mouvement, 328, page (4-6)
Publication Publié, 2024-02-07
Article sans comité de lecture
Résumé : « Nous combattons des animaux humains et nous agissons en conséquence ». Cette sentence récente du ministre israélien de la défense – outre qu’elle nous rappelle que toute guerre, à fortiori tout génocide, passe par la déshumanisation de l’ennemi – est possible parce que l’on réserve à la plupart des animaux un traitement inhumain. Cette assignation, ce devenir commun aux humains méprisés et aux animaux, peut-elle nous aider à penser les conditions d’existence dans les métropoles ?