Résumé : Dans sa vision contemporaine, l'architecture n'a plus grand-chose à voir avec l'énergie, la santé, l'équité, la durabilité, etc. Le propos de l'architecture serait de questionner la spatialité du monde, celui de la durabilité de questionner l'habitabilité de la planète. Pourtant, tout projet est appelé quand même à se confronter aux enjeux des situations contemporaines. Alors que le marché déresponsabilise et que le concept de durabilité décloisonne, comment repenser la production de l'architecture comme plus-value (forme de prospérité) ?