par Chiurdoglu, Grégoire
;Mathieu, M;Baudet, R.;Delsemme, Antoine
;Planchon, Maurice
;Tullen, Paul 
Référence Bulletin des Sociétés chimiques belges, 65, 7-8, page (664-674)
Publication Publié, 1956




Référence Bulletin des Sociétés chimiques belges, 65, 7-8, page (664-674)
Publication Publié, 1956
Article révisé par les pairs
Résumé : | Les 2‐éthoxycarbonyl‐1‐oxacyclopropane‐spiro‐cyclobutane (I), ‐cyclo‐pentane (II), ‐cyclohexane (IV), les dérivés 2, 4, 5, 6, ‐méthylés (V à VIII) de ce dernier et le 2‐méthyl‐2‐éthoxycarbonyl‐l‐oxacyclopropane‐spiro‐cyclopentane (III) sont décrits par l'intermédiaire de leurs constantes et de leurs spectres infra‐rouges et, pour certains, Raman. Le fait essentiel, révélé par les spectres est l'existence, chez ces esters glycidiques, d'un net dédoublement de la bande carbonyle : 1730 cm−1 et 1750 cm−1. Ce dédoublement s'observe, en outre, chez le 2‐méthyl‐2‐éthoxycarbonyl‐1‐oxacyclopropane (X) et pas chez le 2‐éthoxycarbonyl‐1‐oxacyclopropane (IX) ou encore chez le 2‐carbo‐carboxy‐1‐oxacyclopropane‐spiro‐cyclohexane (XI) et pas chez le sel de sodium correspondant. Copyright © 1956 Wiley‐VCH Verlag GmbH & Co. KGaA, Weinheim |