Article révisé par les pairs
Résumé : | En calculant la viscosité des liquides par la méthode des vitesses absolues de réaction, E y r i n g trouve des valeurs deux à trois fois trop fortes. L'auteur montre sur les exemples de l'argon et du mercure que, si on utilise dans le calcul d'E y r i n g des valeurs du volume libre déterminées à partir du modèle de Lennard-Jones et Devonshire, cette discordance disparaît presque complètement. |