par Chiurdoglu, Grégoire ;Bauwens, A.N.;Doehaerd, Th
Référence Bulletin des Sociétés chimiques belges, 63, 9-10, page (486-499)
Publication Publié, 1954
Référence Bulletin des Sociétés chimiques belges, 63, 9-10, page (486-499)
Publication Publié, 1954
Article révisé par les pairs
Résumé : | Par deux voies différentes on a préparé deux échantillons du cis‐1e,3e,5e‐triméthylcyclohexane. Ils sont identiques (constantes et spectres) au cis préparé précédemment par Chiurdoglu et dont la nature chimique avait été mise en doute (1) par suite de l'absence dans son spectre Raman d'une raie forte entre 518 cm−1 et 848 cm−1. On sait, en effet, que tous les dérivés méthylés du cyclohexane, y compris le trans‐1e,3e,5a,‐triméthylcyclohexane, comptent entre 700 cm−1 et 800 cm−1 une telle raie forte. Elle est de la famille de la 802 cm−1, raie dite de «pulsation» du cyclohexane, laquelle s'abaisse, lors d'une substitution, surtout par suite de l'altération de la symétrie ternaire. On peut admettre que chez le cis ‐ 1e, 3e, 5e ‐ triméthylcyclohexane, molécule parfaitement symétrique mais cependant différente de C6H12, naissent d'autres modes de vibration, parfaitement symétriques; les raies 520 cm−1 et 843 cm−1 représenteraient deux de ces modes de vibration. Copyright © 1954 Wiley‐VCH Verlag GmbH & Co. KGaA, Weinheim |