par Villocel, Florie;Lafontaine, Hélène 
Référence Les cahiers de l'ASELF, 11, 1, page (5-13)
Publication Publié, 2014-03-27

Référence Les cahiers de l'ASELF, 11, 1, page (5-13)
Publication Publié, 2014-03-27
Article sans comité de lecture
Résumé : | Nous proposons ici d’articuler les principaux fondements théoriques qui définissent la dyslexiepour repenser certains enjeux éthiques et déontologiques. (cf données épidémio// 5 %dyslexie + connaissance// vulgarisation grand public ?). La réflexion proposée ici tente de dégager les principaux fondements théoriques qui permettent aujourd’hui de mieux repérer la dyslexie, et de réfléchir aux limites de leur utilisation dans aux pratiquesla pratique logopédiques actuelles., dans le souci de soutenir la demande de soin. Il nous a semblé intéressant de voir comment les critères d’exclusion, de spécificité, de persistance et de sévérité sont intégrés aux nouveaux critères de pathologie et viennent, ou non, nuancer notre démarche clinique. En plus de reconnaître l’action préventive du logopède face aux difficultés de lecture, force est de constater la volonté des pouvoirs subsidiant d’aller au-delà d’une évaluation diagnostique basée sur une analyse strictement quantitative. Notre rôle de soin et celui de demandeur d’accès au soin se doivent pourtant d’être différenciés. Au regard de certaines observations face à l’utilisation de critères normatifs lors du temps du bilan, il est de notre devoir de soutenir, dans l’intérêt de l’enfant et de ses parents, une réflexion sur certains enjeux éthiques et déontologiques |