Article révisé par les pairs
Résumé : Nous rapportons le cas d’une patiente porteuse d’un adénocarcinome pulmonaireALK positif, qui développe, 17 mois après le début de son traitement par crizotinib, des kystesrénaux complexes bilatéraux. La mise au point permet de conclure à la responsabilité du médicamentanti-tumoral. Une régression des kystes est notée après 1 mois d’arrêt du crizotinib. Cecas illustre les toxicités particulières et peu connues des molécules innovantes dans la prise encharge des cancers bronchiques